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Guénola de Lhoneux : Une nouvelle ère pour le bénévolat éducatif en Belgique
Après plus de 15 ans passés dans le milieu scolaire en tant qu’institutrice et conseillère éducative, Guénola de Lhoneux décide début 2023 de fonder l’association Les ABS – Aidants Bénévoles Scolaires. Elle est aussi conseillère pédagogique au sein de la Fédération de l’Olivier qui compte les pouvoirs organisateurs d’une vingtaine d’écoles du réseau libre. Sa mission ? Ouvrir les écoles à la culture du bénévolat. Concrètement ? Offrir une aide bénévole sur mesure aux enseignants pendant le temps scolaire et les soutenir dans leur travail pédagogique. Brigitte Ullens de Schooten : La fondation des Aidants Bénévoles Scolaires se fait dans un contexte actuel plutôt tendu au niveau de l’enseignement. Où vous situez-vous dans la mission éducative ? Guénola de Lhoneux : C’est vrai que mon système de bénévolat s’inscrit dans une période contextuelle, disons, difficile. Nous vivons une grosse période de changement et de réformes et le système scolaire est à ‘flux tendu’. Mais en réalité le bénévolat scolaire est une démarche ‘win-win’, bénéfique à la fois pour les écoles et pour la société. L’enjeu social est évident, et reconnu par les élus, parce qu’il y a des écoles partout, que les problèmes sont partout, quels que soient les niveaux socio-économiques.BUdS : Quelle place occupe le bénévole à côté de l’enseignant et quelle est celle des ABS à côté des directions d’écoles ?GdL : Un bénévole ne remplace pas l’enseignant qui reste l’expert en apprentissage. Le bénévole est là pour aider l’enseignant, un élève ou un groupe d’élèves, dans un bon équilibre pédagogique. Et il ne s’agit pas non plus de mettre un bénévole derrière un enfant spécifique à la demande des familles. La demande doit venir de la direction qui identifie une mission dans une classe. Dans ce cas précis un projet peut se construire.Actuellement nous accueillons les bénévoles qui sont assez nombreux vu notre référencement sur internet et nous répondons aux demandes des écoles, mais l’objectif est plutôt de se déployer comme facilitateur, donc d’être au service des écoles et de les accompagner à recruter elles-mêmes leurs bénévoles, à les gérer et les pérenniser. Notre but n’est pas de centraliser, mais d’assister, quel que soit le réseau, que ce soit en maternel, en primaire ou dans le secondaire, où nous entamons d’ailleurs une première expérience.BUdS : Et si demain je souhaite être bénévole, y a-t-il des contraintes particulières ?GdL : Nous recrutons tout profil sensible à la cause scolaire, ayant une parfaite maitrîse [KU1] du français, des affinités avec les enfants et apte à travailler en équipe avec des adultes. Si le bénévole vient du monde de l’éducation c’est un plus… Nous n’observons pas de problèmes au niveau des missions elles-mêmes. Quant à l’offre de bénévoles, elle est importante, mais elle est irrégulière, car les bénévoles postulent dans différentes associations ; nous devons être réactifs quand un profil nous convient.L’expérience montre que le recrutement doit rester local et c’est pour cela que nous souhaitons que progressivement ce soient les écoles qui gèrent leurs bénévoles et les fidélisent.BUdS : Actuellement vous répondez aux demandes des directions et vous proposez aussi des accompagnements sur mesure ?GdL : Il y a énormément de besoins. Le but est d’offrir du soutien. Si une direction nous demande d’assister un enseignant sur le fil, la présence du bénévole va être bénéfique : tout le monde est gagnant. Le bénévole s’investit dans une mission que les enseignants accueillent favorablement, bien plus qu’avant. Les mentalités évoluent et c’est aussi une piste pour anticiper l’absentéisme.On sait que le monde de l’enseignant s’est complexifié car les jeunes ont changé et la structure n’a pas évolué dans le temps. Il y a plus d’élèves allophones dans les classes mais aussi plus d’enfants à besoins spécifiques.BUdS : Le chantier de l’éducation est énorme. 2 ans que l’association existe. Que faudrait-il aujourd’hui ?GdL : Reconnaître [KU2] que le bénévolat favorise le bon fonctionnement d’une société, ce qui s’illustre un peu plus dans les pays anglo-saxons où les écoles sont plus ouvertes. Par ailleurs ma volonté est de fonctionner avec la Fédération Wallonie-Bruxelles et de travailler en cohésion.Ensuite, entendre les acteurs de terrain dans leur charge. Notre système provoque des inégalités scolaires exemplaires et un profond sentiment de culpabilité chez les enseignants !3% des enseignants seulement se sentent reconnus… On ne peut pas rester sans rien faire !Contact : www.lesabs.be
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Guénola de Lhoneux : Une nouvelle ère pour le bénévolat éducatif en Belgique
Après plus de 15 ans passés dans le milieu scolaire en tant qu’institutrice et conseillère éducative, Guénola de Lhoneux décide début 2023 de fonder l’association Les ABS – Aidants Bénévoles Scolaires. Elle est aussi conseillère pédagogique au sein de la Fédération de l’Olivier qui compte les pouvoirs organisateurs d’une vingtaine d’écoles du réseau libre. Sa mission ? Ouvrir les écoles à la culture du bénévolat. Concrètement ? Offrir une aide bénévole sur mesure aux enseignants pendant le temps scolaire et les soutenir dans leur travail pédagogique. Brigitte Ullens de Schooten : La fondation des Aidants Bénévoles Scolaires se fait dans un contexte actuel plutôt tendu au niveau de l’enseignement. Où vous situez-vous dans la mission éducative ? Guénola de Lhoneux : C’est vrai que mon système de bénévolat s’inscrit dans une période contextuelle, disons, difficile. Nous vivons une grosse période de changement et de réformes et le système scolaire est à ‘flux tendu’. Mais en réalité le bénévolat scolaire est une démarche ‘win-win’, bénéfique à la fois pour les écoles et pour la société. L’enjeu social est évident, et reconnu par les élus, parce qu’il y a des écoles partout, que les problèmes sont partout, quels que soient les niveaux socio-économiques.BUdS : Quelle place occupe le bénévole à côté de l’enseignant et quelle est celle des ABS à côté des directions d’écoles ?GdL : Un bénévole ne remplace pas l’enseignant qui reste l’expert en apprentissage. Le bénévole est là pour aider l’enseignant, un élève ou un groupe d’élèves, dans un bon équilibre pédagogique. Et il ne s’agit pas non plus de mettre un bénévole derrière un enfant spécifique à la demande des familles. La demande doit venir de la direction qui identifie une mission dans une classe. Dans ce cas précis un projet peut se construire.Actuellement nous accueillons les bénévoles qui sont assez nombreux vu notre référencement sur internet et nous répondons aux demandes des écoles, mais l’objectif est plutôt de se déployer comme facilitateur, donc d’être au service des écoles et de les accompagner à recruter elles-mêmes leurs bénévoles, à les gérer et les pérenniser. Notre but n’est pas de centraliser, mais d’assister, quel que soit le réseau, que ce soit en maternel, en primaire ou dans le secondaire, où nous entamons d’ailleurs une première expérience.BUdS : Et si demain je souhaite être bénévole, y a-t-il des contraintes particulières ?GdL : Nous recrutons tout profil sensible à la cause scolaire, ayant une parfaite maitrîse [KU1] du français, des affinités avec les enfants et apte à travailler en équipe avec des adultes. Si le bénévole vient du monde de l’éducation c’est un plus… Nous n’observons pas de problèmes au niveau des missions elles-mêmes. Quant à l’offre de bénévoles, elle est importante, mais elle est irrégulière, car les bénévoles postulent dans différentes associations ; nous devons être réactifs quand un profil nous convient.L’expérience montre que le recrutement doit rester local et c’est pour cela que nous souhaitons que progressivement ce soient les écoles qui gèrent leurs bénévoles et les fidélisent.BUdS : Actuellement vous répondez aux demandes des directions et vous proposez aussi des accompagnements sur mesure ?GdL : Il y a énormément de besoins. Le but est d’offrir du soutien. Si une direction nous demande d’assister un enseignant sur le fil, la présence du bénévole va être bénéfique : tout le monde est gagnant. Le bénévole s’investit dans une mission que les enseignants accueillent favorablement, bien plus qu’avant. Les mentalités évoluent et c’est aussi une piste pour anticiper l’absentéisme.On sait que le monde de l’enseignant s’est complexifié car les jeunes ont changé et la structure n’a pas évolué dans le temps. Il y a plus d’élèves allophones dans les classes mais aussi plus d’enfants à besoins spécifiques.BUdS : Le chantier de l’éducation est énorme. 2 ans que l’association existe. Que faudrait-il aujourd’hui ?GdL : Reconnaître [KU2] que le bénévolat favorise le bon fonctionnement d’une société, ce qui s’illustre un peu plus dans les pays anglo-saxons où les écoles sont plus ouvertes. Par ailleurs ma volonté est de fonctionner avec la Fédération Wallonie-Bruxelles et de travailler en cohésion.Ensuite, entendre les acteurs de terrain dans leur charge. Notre système provoque des inégalités scolaires exemplaires et un profond sentiment de culpabilité chez les enseignants !3% des enseignants seulement se sentent reconnus… On ne peut pas rester sans rien faire !Contact : www.lesabs.be
Ophélie t'Serstevens : le succès d'une passion
Comment Ophélie t’Serstevens a su transformer ses rêves et sa passion en un succès professionnelOphélie t’Serstevens, 30 ans, a fait le choix audacieux de se consacrer pleinement à la poursuite de ses rêves. En 2016, animée par un enthousiasme inébranlable pour l’art, elle décide de relever un défi : faire de sa passion son métier, grâce à l’influence des réseaux sociaux. Elle commence alors à faire de son visage une véritable toile où s’exprimerait toute la singularité de sa créativité.C’est ainsi qu’est né son pseudonyme « Simple Symphony ».Un an plus tard, son pari est couronné de succès. L’une de ses vidéos suscite un engouement mondial générant des centaines de millions de vues. Son audience se développe rapidement et, en quelques mois, plus d’un million de personnes la suivent à travers ses différents réseaux sociaux. Ce succès marque le début d’un parcours fulgurant, jalonné de projets passionnants et de collaborations prestigieuses.Philippe de Potesta : Ophélie, après plusieurs années d’expression artistique via les réseaux sociaux, vous avez mis à profit votre sens de l’innovation et votre expertise pour mettre en lumière de nombreux artistes. Pouvez-vous nous en dire plus ?Ophélie t’Serstevens : Tout à fait. Après quatre années dans ce domaine, j’ai décidé de réorienter mon projet professionnel. L’exposition constante sous les feux des projecteurs avait mis à mal ma santé mentale, et j’éprouvais le besoin de prendre du recul. J’avais également le sentiment d’avoir atteint mes objectifs et d’avoir exploré un maximum de possibilités créatives. Grâce à la notoriété que je m’étais construite, de nombreuses portes se sont ouvertes à moi, et forte de mes connaissances des réseaux sociaux, j’ai décidé de me lancer dans une nouvelle aventure.C’est donc fin 2019 que j’ai pris la décision de passer de la lumière à l’ombre : cette fois, c’est moi qui allais mettre en avant de nombreux artistes talentueux.Je lance alors une toute nouvelle page sur les réseaux sociaux avec une identité visuelle propre.Mon rôle consiste à démarcher des artistes s’illustrant dans des disciplines variées allant de la peinture à la sculpture, en passant par la pâtisserie, le bricolage, et bien d’autres formes artistiques, afin de leur proposer une collaboration. Le but étant de partager le processus de création de leur art sur cette nouvelle page sous forme de vidéo.Une fois leur contenu réceptionné, je le personnalise et retravaille le montage, j’y ajoute également des sous-titres, ou une voix-off explicative. Je publie jusqu’à 10 vidéos par jour, toutes monétisées grâce à des pauses publicitaires.En moins d’un mois, l’engouement a été tel que j’ai dû créer ma société en urgence, ce qui me permit de me consacrer pleinement et sereinement à cette nouvelle activité.Aujourd'hui, près de cinq ans plus tard, je collabore avec plus d’une centaine d’artistes issus des quatre coins du monde.Ils bénéficient non seulement d’une compensation financière, mais aussi d’une immense visibilité grâce à la plateforme que je leur offre. En effet, la communauté que j’ai créée compte près de 7 millions d’abonnés, et les contenus que je diffuse génèrent plus de 2 milliards de vues par an.Au départ, j’ai dû m’entourer pour faire grandir rapidement ce projet, en recrutant trois employés. Actuellement, je parviens à tout gérer seule, en faisant appel à des freelances pour des tâches spécifiques.Mon métier me permet de vivre en tant que « digital nomade », je peux travailler tout en voyageant, ce qui me procure une très grande liberté!Ainsi, ma passion pour l’art continue de s’enrichir à travers le succès et la promotion de ces artistes, tout en contribuant à mon propre épanouissement professionnel et personnel.J’apprécie le fait de ne plus être sur le devant de la scène, et c’est pourquoi je choisis de rester discrète sur l’identité de cette page sur les réseaux sociaux.Mais si un jour nos chemins se croisent, chers lecteurs, je serai ravie de vous en dévoiler davantage!Philippe de Potesta : Quel serait le mot de la fin que tu adresserais à ceux qui hésitent à se lancer dans un nouveau projet ou à se réorienter ?De nos jours, il est tout à fait possible de réussir sa vie sans nécessairement suivre un parcours académique classique. Le monde évolue rapidement, et les opportunités sont nombreuses.Lorsque je repense à mes débuts, me maquillant dans un coin de ma chambre chez mes parents, et que je vois aujourd’hui ce que j’ai accompli en étant à la tête d’une entreprise ayant généré des millions d’euros de chiffre d’affaires, mon parcours témoigne que tout est possible.Alors si vous avez un projet, aussi fou soit-il, lancez-vous. Le véritable secret du succès réside dans l’audace, l’action, et la persévérance.Et surtout, au diable le regard des autres !Nous remercions Philippe de Potesta pour cette interview.
Le Pape François à Louvain-La-Neuve
Le Pape arrive dans sa modeste papamobile blanche immatriculée SCV1 qui s’arrête plusieurs fois en chemin pour saluer et bénir des enfants et des moins valides. Il est accueilli par Françoise Smets, Rectrice de l’UClouvain, Luc Sels, Recteur de la KULeuven, Mgr Luc Terlinden, Archevêque de Malines-Bruxelles et Grand Chancelier de l’Université, ainsi que par une haie joyeuse d’étudiants équipés de leurs plus beaux attributs : drapeaux et bannières, toges et capes, calottes, … Il salue ensuite les autorités de l’université et de la ville et est invité à signer le Livre d’Or.Le Pape arrive dans l’Aula Magna au son de chants et de musique inspirés de “Laudato Si” , qui est le thème de l’après-midi. La Rectrice rappelle la naissance de l’UCLouvain en 1425 qui fut consacrée par une bulle papale de Martin V et un film reprend quelques grandes étapes de son développement jusqu’à ce jour. Après son discours centré sur le changement climatique et le rôle qu’une université peut jouer pour le combattre, la parole est donnée à la communauté d’étudiants qui avaient rédigé une lettre à l’attention du Pape avec pour fil conducteur “Laudato Si”. Cette lettre, soignée et dense, est lue avec cœur par la dramaturge Geneviève Damas. Elle évoque les grandes interrogations écologiques et sociales de notre temps. Elle interpelle le Pape en particulier sur la place de la femme dans l’église et termine sur l’exemple inspirant de Saint François d’Assise, qui est aussi le patron de la paroisse universitaire. Le Pape souligne alors les dominations de notre temps comme la guerre et la corruption (« le diable - l’argent - rentre par les poches ») et invite à l’espérance et à la gratitude pour la création que l’homme doit soigner avec urgence. Il souligne la beauté du don et le défi du développement intégral qui est un appel à la conversion. Il explique que la femme est « accueil fécond, soin et dévouement vital » et que, avec ses études universitaires, elle (comme l’homme) grandit dans « la recherche, l’amitié, le service social, les responsabilités civiles et politiques, les expressions artistiques ». Il insiste sur le sens à donner aux études, le diplôme universitaire étant l’attestation d’une capacité à contribuer au Bien Commun et à rechercher la vérité. Il termine en demandant de prier pour lui ou, pour le moins, de lui « envoyer de bonnes ondes ».Cette rencontre se conclut par un long et chaleureux standing ovation après quoi le Pape est invité à écrire un vœu sur un feuillet qui est fixé sur l’« arbre des 600 ans » et qui sera compilé avec les autres pour devenir un manifeste à publier le 9 décembre 2025, jour du 600e anniversaire.Après sa bénédiction, le Pape se rend vers le parking de l’Aula Magna. Il reçoit une calotte, salue la foule, serre des mains et bénit à nouveau de nombreux enfants et personnes moins valides.On apprend par la suite que l’UCLouvain a diffusé un communiqué exprimant « des convergences de fond, mais aussi une divergence majeure en ce qui concerne la place de la femme dans la société ». Ceci fera certainement l’objet d’un dialogue qui se poursuivra entre les parties.La rencontre se termine, la tête et le cœur de chacune et chacun remplis de ce riche échange. Et la visite du Pape de se poursuivre pour culminer le lendemain dimanche à la messe solennelle célébrée avec 39.000 fidèles au stade Roi Baudouin.Nous remercions le baron van Rijckevorsel pour cet article
Publi-reportage
Pourquoi avez-vous créé une entreprise dans le secteur funéraire ? En d’autres termes, quels étaient votre constat et votre objectif ?C-A. Greindl :Les traditions, les rites pour organiser des funérailles ont fortement évolué au cours des dernières années. Il y a vingt ans, lors d’un décès, la famille contactait les pompes funèbres pour résoudre les problèmes logistiques et s’adressait au curé pour les guider dans la préparation des funérailles.La cérémonie religieuse et le deuil du défunt primaient le plus souvent, au détriment de la personne elle-même, de sa personnalité, de son parcours de vie.Pour mener à bien notre projet d’entreprise, nous avons voulu bien comprendre les traditions, les rituels en cours ; et accompagner une évolution des mentalités, des attentes.De nos jours, la famille, les proches ont besoin de s’approprier la cérémonie funéraire.Ils sont au contraire sensibles aux rituels de commémoration de la vie du défunt.A cet égard, c’est le message que je voudrais adresser aux lecteurs, nous sommes à votre disposition pour créer un rituel qui fait du sens par rapport à la vie de la personne, pour créer un souvenir durable et significatif.Notre rôle consiste en un accompagnement personnalisé, transparent, sur-mesure en adéquation avec les us et coutumes, toujours dans le respect des règles de bienséance et du protocole.Vous avez édité un carnet intitulé « Le livret de mes dernières volontés ».L’anticipation des funérailles est un thème sensible et les intentions peuvent bien sûr évoluer. C’est pourquoi nous avons publié un « Livret de mes dernières volontés » qui permet à chacun de se familiariser avec une démarche qui reste peu courante en Belgique, contrairement à d’autres pays, comme l’Espagne où pas moins de huit personnes sur dix planifient leurs funérailles.Ce livret a pour but :D’éclairer chacun sur toutes les possibilités qui s’offrent pour organiser son dernier voyage.De faire respecter les dispositions prises pour la fin de vie ;D’éviter des conflits ou anticiper des tracas au sein des familles.Un exemple parmi d’autres, que faire lorsqu’il n’y a plus de place dans le caveau de famille ?Faire des crémations ? Mettre les cendres dans une urne ? Quel rituel peut-on créer ?Nous sommes à disposition pour vous aider à remplir ce livret qui est téléchargeable sur www.mavolonte.be ou disponible en version papier sur simple demande par e-mail à : prevoyance@ag-funeral.beSi vous deviez résumer, pour le lecteur, vos priorités dans votre activité, dans votre offre d’accompagnement ?Rendre service, inspirer et soutenir ;Parler de la mort et de la vie ;Rendre des instants de vie plus lumineux ;Créer un partenariat bienveillant pour éviter les conflits, discussions inutiles ou problèmes post-mortem.Sur un plan plus personnel, quelle est la réalisation dont vous êtes le plus fier ?Outre l’indépendance financière dont l’entreprise bénéficie, je suis fier d’être entouré par une équipe et un réseau d’agences et de professionnels qui nous permettent d’offrir un véritable service d’accompagnement avant, pendant et après le décès. Je veux enfin souligner la présence de femmes de nos équipes. C’est essentiel et même important pour dialoguer avec une mère lorsqu’un enfant vient à décéder.Et votre plus grande satisfaction ?Des familles qui nous expriment leur reconnaissance pour avoir été à leurs côtés est une satisfaction énorme dans mon métier. Cette reconnaissance, cet aspect gratifiant fait aisément oublier la contrainte inhérente à notre activité : l’exigence d’une très grande réactivité. Heureusement, aujourd’hui, la structure de l’entreprise et l’équipe en place permettent de concilier service optimal et vie familiale. A&G Funeral Un service d’accompagnement pour commémorer la vie. L’année 2010 voit la création de la société Funé reprenant les Pompes funèbres Altenloh-Greindl. Quinze ans après, que de chemin parcouru ! L’entreprise regroupe aujourd’hui une dizaine de maisons et d’agences de services funéraires et compte une trentaine de collaborateurs.www.ag-funeral.beANRB Newsletter 11-24 - Fr
L’Élégance au service du Cœur
3 stylistes de renom ont à nouveau accepté de mettre leurs superbes talents et leur précieux temps à la disposition de l’organisation d’un défilé de mode pour l’ANRB : Eléonore de Lichtervelde, amoureuse d’étoffes anciennes et rares, elle conçoit des vêtements qu’elle réalise à la main à l’aide de matériaux oubliés ou de vêtements vintage. Corinne le Gentil de Rosmorduc donne une seconde vie à des bijoux et crée des pièces uniques pour des femmes uniques selon un goût inspiré du 19ème siècle et du style victorien romantique. Marie-Catherine le Hodey a ouvert sa propre maison de couture à Bruxelles consacrée à la mariée pour laquelle elle crée des robes « romantico rock ». Qu’ont-elles en commun ? Elégance et beauté, service et générosité, pérennité et durabilité, mécénat et partage, toutes des valeurs représentatives de la noblesse les animent. Pourquoi avez-vous- choisi de vous engager pour l’ANRB alors que chacune de vous exerce déjà une activité professionnelle dynamique ? Nous avons choisi de ne pas garder pour nous nos compétences et le fruit de notre expérience mais de les investir au profit de Solidaritas car c’est une association qui fait du bien et qui est nécessaire pour les membres de notre association qui sont dans le besoin. Quelle est votre contribution au défilé d’octobre prochain ? Nous montons le défilé de A à Z. Depuis plus d’un an, nous chinons dans le vestiaire de l’ANRB où nous dénichons des merveilles. Nous y avons sélectionné de jolies pièces, de belle qualité, actuelles, griffées ou vintage. Nous avons passé de nombreuses soirées à trois pour associer les jupes et les hauts, sans oublier les accessoires et ainsi sélectionner des silhouettes et composer des looks pour tout type d’occasions, soir, jour, hiver ou été, et pour toute les femmes, jeunes filles et dames. Ensuite, nous avons identifié plus d’une dizaine de mannequins de tout âges et de toutes morphologies avec différentes personnalités de femmes qui toutes personnifient le chic et l’élégance tout en conservant leur simplicité. Deux autres critères ont également prévalu lors du choix, leur volonté de participer au projet, évidemment, et leur sourire. Nous avons aussi choisi le DJ, les musiques, l’ordre de passage qui permet à chaque mannequin de se changer entre les présentations et, bien entendu, un élément caractéristique de tout défilé, le tapis rouge. Nous avons aussi pris le temps de fixer un prix pour chaque pièce en fonction de notre expérience de vente, de « vestiaire collective », de vide dressings, de seconde main de luxe. Bref, tout est désormais bientôt prêt pour atteindre notre objectif qui est de vendre ces vêtements et ainsi contribuer à Solidaritas. Quel message souhaitez-vous transmettre à nos membres ? Venez au vestiaire, tant pour donner des vêtements que pour y dénicher la veste à combiner avec un jeans, le chapeau ou la robe dans l’air du temps, auquel vous pourrez donner une seconde vie et ainsi, arrêter de consommer et participer à cette économie de la fast fashion, tout en participant à une action de partage et de solidarité avec ceux qui ont moins de chance. Ce sont des valeurs importantes car c’est connu, donner, c’est recevoir deux fois. Pour les hommes, il y a aussi des costumes, smokings et cravates de grande maisons et de belle facture, rangés et sélectionnés par les gentilles dames du vestiaire sous l’égide de Marie de Schietere de Lophem. Nous vous invitons à venir nombreux admirer le fruit de leur travail et leur générosité, lors du défilé du 3 octobre au siège de l’ANRB et, si le cœur vous en dit, vous pouvez aussi découvrir leurs créations respectives et les rencontrer sur leurs medias : o Eléonore de Lichtervelde ou IGo Corinne le Gentil de Rosmorduc ou IGo Marie-Catherine le Hodey ou IG
Événements
Tournoi de Bridge
Myriam Casier et Dominique van de Werve organisent le prochain bridge au profit de Solidaritas le jeudi 28 novembre à 13 h 30 dans les salons de l’ANRB.
Conférence Parentalité : Comment rebooster mon couple ?
Pascal de Sutter est docteur en psychologie, professeur d'université et coach de vie en individuel et pour les couples.Il enseigne, notamment, au certificat universitaire en "life coaching". Il est invité régulièrement comme conférencier dans plusieurs pays d'Europe, d'Afrique et d'Amérique du Nord et aussi, comme expert dans différentes émissions de télévision et de radio. Plusieurs entreprises et organisations internationales comme l'OTAN ou la commission européenne lui ont fait confiance pour des accompagnements de cadres du plus haut niveau.Pascal de Sutter est l'auteur ou le co-auteur de 19 livres publiés chez les plus grands éditeurs.Il suit en accompagnement individuel un nombre très restreint (maximum une dizaine par an) d'hommes et de femmes.
Attention changement de date 19/12/2024 Qucoma : quoi, comment construire maintenant ? ce titre pourquoi ?
Le chevalier Philippe Samyn Docteur Ingénieur civil, Architecte et Urbaniste, a choisi pour titre de sa conférence : « Qucoma : quoi, comment construire maintenant ? Ce titre pourquoi ? »12:00 : lunch light – 13:00 : conférence Inscription : lesmidisculturels@gmail.com - Chantal Moreau de Bellaing : 0486 180 147Attention changement de date 19/12/2024
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Privatiser la maison
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Le grand hall
Le grand hall est au centre de toute l’action. Il est orné d’une belle cheminée Renaissance, de tapisseries d’Aubusson et de lustres Louis XV imitant ceux de la bibliothèque Mazarine. Un très bel escalier d’honneur permet de monter à l’étage. C’est dans ce lieu magique que les moments les plus marquants de l'association ont pris naissance, créant des moments inoubliables pour certains de nos membres.
Le salon des jeunes
Le salon des JNB est une salle polyvalente. Cet espace cosy et festif est mis à disposition pour vos fêtes ou vos moments « lounge ».
Les salles de réunion
En tant que membre, vous pouvez privatiser nos salles de réunion, et même l'ensemble du bâtiment pour des célébrations plus importantes. Caroline Siraut et son équipe vous aidera à transformer les moindres détails en une expérience vraiment inoubliable.
La salle à manger
Attenant au grand hall principal, la salle à manger est un bel espace de près de 70 m². Les lambris aux murs lui donnent un caractère unique. Une seconde porte très discrète permet l’accès au traiteur de pouvoir servir l’ensemble des invités sans gêner la circulation de vos convives.
Le salon chinois
Le salon Louis XV aux panneaux de style chinois est situé au rez-de-chaussée et donne sur la terrasse de la maison. Il est agrémenté d’un parquet incrusté d’acajou.
Le salon bibliothèque
Le salon bibliothèque, situé à gauche de l'entrée, est un espace intime et raffiné. La pièce est ornée de boiseries et d’étagères de livres, invitant à la détente ou à la conversation. Une seconde porte, discrète, permet de rejoindre le grand hall, renforçant la fluidité et la circulation au rez-de-chaussée.Le salon bibliothèque se prête parfaitement à des dîners en petit comité, où l'on peut partager un moment convivial dans une ambiance feutrée et accueillante.
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